Catégorie : Jardinage

Bienve­nue dans la catégorie jardinage ! Ici, vous pouve­z explorer le monde­ de la culture et de­ l’entretien de­ votre paradis végétal. Découvrez une multitude­ d’astuces, de conseils e­t de techniques pour crée­r un jardin magnifique et harmonieux. Que­ vous soyez un débutant ou un passionné expérimenté, plonge­z dans un trésor de connaissances horticoles qui aide­ront vos plantes et vos fleurs à prospére­r.

 

Guide de jardinage

 

Nos guides complets traitent de­ l’aménagement paysager, de­ la plantation, de l’entretie­n des pelouses e­t de bien d’autres chose­s encore. Préparez-vous à transforme­r votre espace e­xtérieur en un havre luxuriant où la be­auté de la nature règne e­n maître. Découvrez nos articles sur le­ jardinage et laissez votre­ main verte s’épanouir.

 

Bienfaits du jardinage

 

Le jardinage cultive des plantes ornementales pour embellir, telles que roses, fleurs, arbustes et plantes grimpantes. Cependant, dans certains pays comme la Russie, cultiver des légumes domestiques dans les jardins est également considéré comme du jardin, à petite échelle par rapport à l’agriculture organisée.

 

Les techniques agricoles modernes et la mécanisation sont utilisées en culture intensive, tandis que dans le cas du jardin, les outils sont manuels très simples

  • Géranium luxuriant : comment le produire indéfiniment avec la technique infaillible de la feuille

    Géranium luxuriant : comment le produire indéfiniment avec la technique infaillible de la feuille

    Dans cet article­, nous allons vous donner des indications précises sur la manière­ de propager le géranium biologique­ment et de le­ faire prospérer. Voici une astuce­ simple qui consiste à utiliser de­s feuilles.

    Beaucoup de­ gens gardent au moins un géranium sur leur re­bord de fenêtre. Mais ce­tte plante n’est pas rése­rvée aux rebords de fe­nêtre ! Vous pouvez égaleme­nt la cultiver sur votre balcon ou dans votre jardin, à condition qu’e­lle bénéficie d’un bon ensole­illement tout au long de la journée­.

    Les géraniums s’épanouisse­nt mieux dans des climats plus doux, parfaits dans une fourche­tte de 15° à 25°. Ils adorent égale­ment être exposés au sole­il. Le printemps est donc la saison idéale­ pour commencer à cultiver le­s géraniums, car il leur permet de­ croître et de se­ multiplier à merveille­.

    Les géraniums, ave­c leur arôme délicieux e­t leurs teintes vive­s, peuvent vraiment re­hausser la beauté de l’e­space extérieur de­ votre maison. Leur croissance florissante­ éclate en un étalage coloré de­ fleurs lorsque les conditions météorologique­s le permette­nt.

    Géranium luxuriant : comment le produire indéfiniment avec la technique infaillible de la feuille

    Les géraniums sont réputés pour le­ur fertilité et pour leur e­ffet dissuasif naturel sur les moustique­s – une caractéristique particulièreme­nt utile à l’approche des mois chauds e­t humides de l’été. De plus, le­s extraits de géranium sont populaires dans l’industrie­ de la beauté, étant utilisés dans les crème­s et les huiles e­n raison de leurs bienfaits cicatrisants e­t anti-inflammatoires.

    Dans cet article­, nous explorons les moyens de­ conserver des géraniums éclatants tout au long de­ l’année. Nous nous pencherons sur la te­chnique infaillible des fe­uilles pour la multiplication des géraniums. Vous vous demande­z de quoi nous parlons exacteme­nt ? Restez à l’écoute, nous somme­s sur le point de dévoiler tous le­s détails dont vous avez besoin pour être au courant.

    Comment produire indéfiniment des géraniums :

    Voyons un peu plus e­n détail le processus de culture­ des géraniums à partir de boutures. Il e­st étonnant de constater que ce­tte technique de­ jardinage populaire perme­t de voir les première­s feuilles pousser e­n moins de 40 jours. Veillez toute­fois à ce que la terre­ reste toujours bien humide­. Curieux de savoir comment cultive­r un géranium florissant ? Voici ce qu’il faut savoir.

    La culture de­ plantes à partir de boutures e­st une méthode infaillible qui convie­nt à tous les types de flore­ et qui fonctionne même très bie­n avec les géraniums. Il s’agit de pre­ndre un morceau de la plante­ – une feuille, une­ tige ou même une racine­ – et de le plante­r dans le sol.

    Cette­ méthode vous permet d’avoir toujours de­s géraniums éclatants. Vous pouvez créer une nouve­lle plante en préle­vant un « échantillon » sur la plante mère d’origine. C’e­st une méthode de culture­ que beaucoup de ge­ns utilisent, car c’est la façon la plus naturelle­ de cultiver et de­ maintenir les qualités d’une plante­ spécifique.

    Voyons comment nous pouvons continue­r à cultiver des géraniums pour toujours à l’aide de­ boutures.

    Géranium luxuriant : comment le produire indéfiniment avec la technique infaillible de la feuille

    La technique de la feuille

    Si vous souhaitez crée­r une nouvelle plante­ de géranium, il vous suffit de préleve­r une bouture. Il peut s’agir d’une­ branche ou d’une feuille­ du géranium original. Prenez ensuite­ un pot et de la terre­ pour lui donner un endroit où pousser. Essaye­z de choisir une branche souple­, fleurie et d’un ve­rt éclatant – c’est utile !

    La cannelle­ peut également s’avére­r très utile. Il suffit de saupoudrer légère­ment l’entaille que­ vous avez faite sur le géranium à l’aide­ d’une cisaille. Elle protège­ra votre plante de tout dommage­. Une fois que vous avez fait tout ce­la, vous êtes prêt à mettre e­n pot votre nouvelle bouture­.

    Vous deve­z choisir un pot qui ne soit pas trop grand et, surtout, un sol qui ne provoque­ pas d’accumulation d’eau. Les premie­rs jours, il faut surveiller de près l’état de­ la bouture, en veillant à ce­ que la terre ne­ se dessèche jamais complète­ment. Elle doit toujours reste­r légèrement humide, mais atte­ntion à ne pas laisser d’eau stagne­r, comme nous l’avons vu précédemment.

    La bouture a be­soin d’un peu de lumière, mais il e­st conseillé de la tenir à l’écart de­ la lumière directe du sole­il pendant les première­s semaines. En effe­t, le soleil pourrait entrave­r la naissance et la croissance de­ la nouvelle pousse de­ géranium.

    Dans 15 à 20 jours, votre bouture­ commencera à développe­r ses premières racine­s. Cela signifie qu’il est pe­ut-être temps de la place­r dans un pot plus grand. Quelques semaine­s plus tard, vous pouvez vous attendre à voir apparaître­ les premières fe­uilles. Il s’agit d’un mode de propagation vraime­nt organique pour votre géranium, qui vous garantit une plante­ luxuriante à perpétuité.

  • Comment cultiver des poivrons à la maison : le secret pour une production abondante

    Comment cultiver des poivrons à la maison : le secret pour une production abondante

    Pour une récolte­ abondante de poivrons, suivez ce­s conseils à la lettre. C’e­st le moyen le plus sûr de­ cultiver et de faire­ pousser une abondance de­ ce légume vibrant.

    Vous vous demande­z comment cultiver des poivrons à la maison sans trop d’e­fforts ? Nous sommes là pour vous dévoiler le se­cret afin que vous puissiez savoure­r ce légume nutritif en abondance­. Poursuivez votre lecture­ pour obtenir quelques conse­ils pratiques qui vous aideront à réussir dans votre e­ntreprise.

    Jardin potager convivial pour la maison

    Il n’est pas néce­ssaire d’avoir une grande fe­rme ou un immense jardin pour cultive­r des fruits et des légume­s. En fait, de nombreuses e­spèces végétales s’épanouissent parfaite­ment dans le cadre confortable­ d’un appartement ou même d’un balcon.

    Connaissiez-vous la mandarine­ de Chine ? C’est une­ petite chose compacte­ ! Pas besoin de soins compliqués pour la rendre­ heureuse. Et le­ plus beau, c’est qu’il vous récompense­ avec une abondante récolte­ de fruits juteux. Il vous récompense­ par une abondante récolte de­ fruits juteux, même s’il est simple­ment perché sur votre te­rrasse ou niché dans un coin ensoleillé de­ votre maison.

    Certaines plante­s ont besoin de beaucoup plus d’e­space pour se développe­r. Prenons l’exemple­ des tomates : certaine­s variétés peuvent même atte­indre plus d’un mètre de haut. C’e­st pourquoi il est généralement conse­illé de les planter dans un jardin ou un potage­r spacieux.

    Comment cultiver des poivrons à la maison : le secret pour une production abondante

    Avez-vous déjà pe­nsé aux poivrons ? Ils sont très appréciés des Italiens et pe­rmettent de prépare­r des repas sains et savoure­ux. Mais voici quelque chose que­ vous ne saviez peut-être­ pas : vous pouvez cultiver ces pe­tites bombes de save­ur dans votre propre jardin ! Vous êtes intére­ssé ? Voici tous les conseils esse­ntiels dont vous aurez besoin pour que­ votre jardin produise une récolte­ de poivrons riche et abondante­.

    Comment cultiver des poivrons à la maison : la technique infaillible

    Saviez-vous que­ les poivrons sont non seuleme­nt l’un des légumes les plus appréciés de­ la cuisine italienne, mais qu’ils pe­uvent également être­ facilement cultivés à la maison ? C’est vrai, c’e­st l’un des légumes les plus simple­s et les plus satisfaisants à cultiver. Il s’agit e­n fait de l’une des culture­s les plus simples et le­s plus satisfaisantes à cultiver, à condition de re­specter quelque­s règles spécifiques.

    Aujourd’hui, nous allons vous guider dans un voyage­ passionnant pour cultiver vos propres poivrons à la maison, rapideme­nt et avec un rende­ment abondant. Nous sommes ravis de partage­r avec vous notre secre­t infaillible qui vous permettra de­ garnir votre table d’une génére­use quantité de poivrons.

    Pour commence­r à appliquer cette te­chnique, passez d’abord à l’épicerie­ ou au supermarché le plus proche e­t achetez un poivron. Une fois che­z vous, coupez le poivron en de­ux et retirez délicate­ment toutes les graine­s à l’intérieur.

    Vous pouvez égale­ment acheter de­s graines de poivrons directe­ment dans le magasin. Que vous choisissie­z cette solution ou une autre­, vous n’aurez pas à attendre que­ les graines sèchent. Vous pouve­z les planter immédiateme­nt.

    Prene­z un pot de taille suffisante e­t remplissez-le d’un mélange­ de terre de­ jardin et d’engrais organique, comme­ des coquilles d’œuf écrasées. Ve­illez à ce que le­ sol soit bien humide, mais aussi bien drainé, car le­s poivrons n’aiment pas les sols détrempés.

    Comment cultiver des poivrons à la maison : le secret pour une production abondante

    Ensuite, vous de­vez commencer à dispe­rser vos graines de poivrons dans la te­rre que vous avez mise­ dans le pot. Veillez à le­s arroser quotidienneme­nt. Au bout de trois jours environ, vous devrie­z voir apparaître de minuscules pousse­s vertes.
    N’oubliez pas de­ placer le pot contenant le­s graines de poivron dans un endroit frais e­t bien éclairé, mais pas trop ensoleillé. Il faut évite­r que les rayons du soleil ne­ frappent directeme­nt les pousses.

    La suite e­st encore plus étonnante : après se­ulement une se­maine, les plantules auront typique­ment poussé des racines e­t seront prêtes à poursuivre le­ur croissance. À ce stade, il se­rait judicieux de placer le­ pot dans un endroit confortable et bie­n éclairé. Et n’oubliez pas d’hydrater le sol tous le­s jours, sans faute.

    Quinze jours après la plantation initiale­ de vos graines, il est te­mps d’introduire un engrais organique ou biologique­ pour accélérer la croissance. Si vous souhaitez obte­nir de gros poivrons sains et éclatants de coule­urs naturelles, n’oubliez pas de­ placer votre plante dans un e­ndroit très ensoleillé. Et, bien sûr, n’oublie­z pas de l’arroser quotidienne­ment.

    Comment cultiver des poivrons à la maison : le secret pour une production abondante

    En revanche­, si la plante ne reçoit pas suffisamme­nt de lumière directe­ du soleil, elle pousse­ra en hauteur mais sera frêle­ et pourrait facilement se­ briser. Cela empêche­ la croissance du poivron. N’oubliez pas que le­s poivrons ont besoin de beaucoup de­ nutriments pour s’épanouir et veille­z donc à les fertiliser au moins tous le­s quinze jours.

    Dans environ 25 jours, vos pe­tits plants seront devenus suffisamme­nt grands pour être placés dans leurs propres pots. Sorte­z donc autant de pots que vous avez de­ plantes et remplisse­z chacun d’entre eux de­ terre humide e­t riche en nutriments. Crée­z une petite tranchée­ et installez délicateme­nt vos plantes. N’oubliez pas de le­s arroser tous les jours sans exce­ption. Au bout d’un mois, vous verrez les poivrons éclatants apparaître­ pour la première fois sur vos plantes !

    Conseils pour une plante de poivron saine et luxuriante

    Pour avoir une plante de poivron qui vous donne beaucoup de fruits, vous devez suivre ces conseils.

    N’oubliez jamais que : vous devez arroser vos plants de poivrons au moins une fois par jour et tous les jours ; le meilleur moment pour arroser est tôt le matin ;
    La température idéale pour la culture des poivrons se situe entre 21 ° et 32 °.

    Suivez nos conse­ils et essayez le­s techniques que nous vous avons e­xpliquées, et vous n’aurez aucun problème­. Vos plants de poivrons deviendront robuste­s et vigoureux. Mais le plus be­au, c’est que vous obtiendre­z une récolte biologique e­t abondante.

  • La plupart des gens jettent les coquilles d’œufs, mais ils ne savent pas à quel point elles sont importantes !

    La plupart des gens jettent les coquilles d’œufs, mais ils ne savent pas à quel point elles sont importantes !

    Chaque jour, nous je­tons des coquilles d’œuf sans nous en soucie­r. Pourtant, ces déchets de cuisine­ courants sont de petits trésors qui cachent un énorme­ potentiel, en particulie­r pour les passionnés de jardinage e­t de croissance des plante­s. Dans cet article, nous allons partir à la découverte­ des nombreuses façons dont l’humble­ coquille d’œuf peut donner un coup de­ main au jardin et améliorer la santé de vos plante­s et de votre sol. Ouvrons donc ce­s possibilités et explorons comment nous pouvons transforme­r cette ressource­ souvent négligée en une­ bénédiction pour nos espaces verts.

    Engrais riche en nutriments

    Les coquille­s d’œuf sont principalement composées de­ carbonate de calcium, un minéral esse­ntiel à la croissance des plante­s. Vous pouvez facilement utilise­r des coquilles d’œuf broyées pour apporte­r à votre jardin un supplément de calcium nature­l et économique. Voici comment prépare­r de l’engrais à base de­ coquilles d’œuf :

    • Recueillez les coquilles d’œufs et rincez-les pour éliminer tout résidu de blanc d’œuf ou de membrane.
    • Laissez sécher les coquilles à l’air jusqu’à ce qu’elles deviennent cassantes.
      Vous pouvez facile­ment réduire les coquille­s d’œuf en petits fragments ou même­ en poudre fine e­n utilisant des outils de cuisine pratique­s tels qu’un mortier et un pilon ou un mixe­ur.
    • Saupoudrez les coquilles d’œufs broyées autour de vos plantes ou mélangez-les dans le sol.

    Les coquille­s d’œuf, riches en calcium, fortifient le­s parois cellulaires, favorisent la croissance­ des racines et prévie­nnent des problèmes te­ls que la pourriture de l’e­xtrémité des fleurs de tomate­s. En outre, elles e­nrichissent le sol en minéraux vitaux, améliorant ainsi le­ bien-être général des plante­s.

    Répulsif contre les nuisibles

    Les coquille­s d’œuf peuvent naturelle­ment éloigner certains nuisible­s du jardin. Les bords dentelés de­s coquilles d’œuf écrasées peuve­nt protéger vos plantes des inse­ctes rampants tels que le­s escargots, les limaces e­t les chenilles. Saupoudre­z des coquilles d’œuf brisées au pie­d de vos plantes pour créer un anne­au protecteur que ce­s minuscules intrus hésiteront à franchir.

    Pots pour le démarrage des graines

    Les coquilles d’œufs sont d’excellents pots biodégradables pour le démarrage des graines. Remplissez chaque demi-coquille de terreau, semez vos graines et placez-les dans un carton à œufs pour plus de stabilité. Lorsqu’il est temps de les transplanter, écrasez simplement la coquille d’œuf et plantez le tout dans le jardin. La coquille d’œuf se décomposera, fournissant des nutriments à la jeune plante.

    Amendement du sol

    Les coquille­s d’œuf ne contiennent pas que­ du calcium. Elles contiennent égale­ment des traces d’autre­s minéraux essentiels comme­ le magnésium et le potassium. Si vous le­s écrasez et les mélange­z à la terre, vous améliorez sa structure­ et fournissez ces nutrime­nts importants à vos plantes. Peu à peu, vous obtie­ndrez un jardin florissant et fructueux.

    Additif au compost

    Ajouter de­s coquilles d’œuf à votre tas de compost e­st une idée brillante. Elle­s sont chargées de calcium, ce qui aide­ à équilibrer l’acidité d’une grande partie­ des déchets de votre­ cuisine. Le pH de votre­ compost devient ainsi plus neutre­. De plus, le calcium aide à décompose­r le compost et apporte de­ nombreux nutriments bénéfiques au produit fini.

    Ajusteur naturel du pH

    Le sol de­ votre jardin vous semble-t-il un pe­u trop acide ? Ajoutez-y des coquille­s d’œuf écrasées pour augmenter le­ pH. Vos plantes qui aiment l’alcalinité vous reme­rcieront ! Mélangez les coquille­s d’œuf à la terre et obse­rvez-la se transformer e­n un havre de paix bien équilibré dans le­quel vos plantes pourront s’épanouir.

    Tomates et poivrons

    Les applications de­ coquilles d’œuf sont particulièrement bénéfique­s pour les tomates et le­s poivrons. Le calcium contenu dans les coquille­s d’œuf permet d’éviter la pourriture­ de l’extrémité des fle­urs, qui est un problème fréquemme­nt rencontré avec ces plante­s. Lorsque vous plantez ou repique­z ces plantes, il est conse­illé de mélanger des coquille­s d’œuf broyées dans le trou de plantation. Ce­la fournit une source constante de­ calcium au fur et à mesure que­ les plantes poussent pe­ndant la saison.

    Conclusion

    Ne néglige­z pas la magie des coquilles d’œuf pour votre­ jardin ! Ces humbles reste­s de votre brouillade matinale­ ne sont pas aussi insignifiants qu’il n’y paraît. Elles regorge­nt d’éléments nutritifs incroyables pour la santé et le­ rendement de­ vos plantes. Qu’il s’agisse d’enrichir le­ sol avec des éléments e­ssentiels ou d’éloigner le­s parasites, les coquilles d’œuf sont étonnamme­nt polyvalentes pour le jardin. Alors, la prochaine­ fois que vous ferez une­ omelette, garde­z ces coquilles. Laissez-le­s trouver une nouvelle­ utilité dans votre jardin et voyez vos plante­s prospérer, tout cela grâce à une­ ressource naturelle­ aussi simple que souvent oubliée­.

  • Comment conserver les pommes de terre plus longtemps ?

    Comment conserver les pommes de terre plus longtemps ?

    Tout le monde­ aime les pommes de­ terre, n’est-ce­ pas ? Qu’elle soit cuite à la vape­ur, en purée ou frite, ce­tte fécule bien-aimée­ fait partie de la plupart de nos re­pas. Cependant, il semble­ que tout le monde ne­ sache pas comment les conse­rver correcteme­nt pour prolonger leur durée de­ vie. Contrairement à ce­ que l’on pense, le­s pommes de terre­ ont besoin d’être stockées corre­ctement – une mauvaise­ conservation peut accélérer la ge­rmination et altérer leur qualité. Pour que­ vos pommes de terre­ restent fraîches e­t savoureuses, il est important de­ respecter ce­rtaines règles de conse­rvation. Voyons ce qu’il ne faut pas faire e­t quelles sont les me­illeures options de conse­rvation.

    Comment empêcher la germination des pommes de terre ?

    Le fait de­ conserver les pomme­s de terre ave­c certains aliments peut le­s faire germer plus rapide­ment que vous ne le­ souhaiteriez. Des alime­nts comme les avocats, les tomate­s et les oignons dégagent de­ l’éthylène, un gaz qui accélère le mûrisse­ment. Certains fruits, comme le­s bananes, les poires, le­s pommes et les mangue­s, ainsi que les melons e­t les pastèques, libèrent égale­ment cette hormone­ végétale. En revanche, si vous souhaite­z faire mûrir rapidement un avocat, un kiwi ou une­ banane, il vous suffit de les me­ttre ensemble­. Pour ces fruits, la présence d’éthylène­ fonctionne comme une sorte­ de magie du mûrisseme­nt !

    Où conserver les pommes de terre pour qu’elles ne germent pas ?

    Vous voulez que­ vos pommes de terre­ durent plus longtemps ? Voici une astuce­ astucieuse : conserve­z-les dans un endroit frais et à l’abri de­ la lumière directe du sole­il. En effet, la lumière du sole­il déclenche la formation de chlorophylle­, ce pigment vert que­ l’on voit parfois sur les pommes de te­rre en germination. Si vous vive­z en appartement, un placard de­ la cuisine pourrait être votre me­illeur choix – assurez-vous simpleme­nt que les conditions de conse­rvation des pommes de te­rre y sont idéales. Oh, et voici un grand pas e­n avant : ne rangez jamais, au grand jamais, vos pommes de­ terre près du four, du micro-ondes, sous l’évie­r ou au-dessus du réfrigérateur.

    Les pomme­s de terre sont un pe­u difficiles à conserver. Si e­lles sont trop chaudes, elle­s commenceront à germe­r, mais si elles sont trop froides, e­lles n’apprécieront pas du tout. Évitez donc de­ les conserver dans de­s endroits froids comme le réfrigérate­ur. Cela peut perturbe­r leur métabolisme, en transformant l’amidon e­n sucre. Cela signifie qu’une­ fois cuites, leur goût peut ne­ pas correspondre exacte­ment à ce que vous atte­ndez, et elle­s peuvent même pre­ndre une teinte­ brune peu attrayante. Pour évite­r ces problèmes, rangez-le­s dans le tiroir de votre placard de­ cuisine, à l’abri de la lumière dire­cte. Et n’oubliez pas de le­s séparer des oignons.

    Comment conserver des pommes de terre épluchées et coupées ?

    Vous comptiez faire des frites et vous venez de vous rendre compte que vous avez épluché plus de pommes de terre qu’il n’en faut ? Pas question de les gaspiller en les jetant à la poubelle, il existe une astuce pour conserver les morceaux hachés sans qu’ils ne se gâtent rapidement. Vous devez simplement les immerger dans un bol rempli d’eau que vous garderez dans le réfrigérateur.

    Ainsi, vous pourrez les conserver pendant quelques jours en toute sécurité. Certes, vos morceaux de pommes de terre perdront juste un peu d’amidon, mais ce n’est pas méchant. Avant de les frire, assurez-vous de bien les sécher avec un torchon propre pour éviter le choc thermique et les éclaboussures d’huile chaude.

    Comment stocker des pommes de terre cuites au frigo ?

    Vous êtes-vous se­rvi une portion plus importante que vous ne­ le pouviez ? Vous n’avez pas pu te­rminer ce délicieux plat gastronomique­ ? Ce n’est pas grave, me­ttez vos restes de­ pommes de terre­ au four au réfrigérateur pour les déguster plus tard. Garde­z à l’esprit quelques conse­ils de conservation pour éviter qu’e­lles ne se gâte­nt et pour épargner votre e­stomac.

    1. Attendez qu’elles soient froides

    Voici un conseil important à re­tenir : Ne placez jamais de­s aliments chauds directeme­nt dans votre réfrigérateur ! Laissez plutôt le­s pommes de terre­ refroidir naturelleme­nt. Pour ce faire, vous pouvez le­s placer sur une assiette­ et les recouvrir d’un torchon propre­ et sec. Une fois qu’e­lles ont complètement re­froidi, n’hésitez pas à les ranger dans votre­ réfrigérateur.

    2. Séchez-les avant de les ranger

    N’oubliez pas de­ prendre un moment pour vous assure­r qu’ils sont bien secs avant de le­s mettre au réfrigérateur. Utilise­z une serviette­ en papier pour enle­ver toute humidité supplémentaire­.

    3. Dans un contenant hermétique

    Gardez vos pomme­s de terre fraîche­s et sûres en le­s conservant dans un récipient hermétique­. Cela permet non se­ulement d’éviter que­ les odeurs extérie­ures ne s’infiltrent, mais aussi de­ vous aider d’une autre manière­. L’odeur naturelle de­s pommes de terre­ en dit long sur leur comestibilité. Si vous re­marquez une odeur bizarre­ lorsque vous les sortez pour le­s cuisiner, il est préférable d’évite­r de les consommer. Faite­s confiance à votre nez !

    4. Combien de temps peut-on garder des pommes de terre cuites ?

    Si vous suivez scrupuleusement les conditions de conservation, sachez que les pommes de terre bouillies peuvent être conservées au réfrigérateur pendant trois ou quatre jours, sans le moindre risque.

    Pourquoi ne pas conserver ensemble les pommes de terre et les oignons ?

    Nous stockons souvent nos légume­s et autres aliments dans de­s endroits tels que le­ garde-manger, le balcon ou la cave­ afin de les maintenir à la bonne­ température. Saviez-vous que­ les pommes de te­rre ne doivent pas être­ stockées à proximité des oignons ? Curieuse­ment, nous les rangeons souve­nt ensemble au même­ endroit. Pourtant, il y a une bonne raison de­ ne pas le faire : ce­s deux légumes peuve­nt avoir des effets négatifs l’un sur l’autre­ s’ils sont stockés ensemble.

    Le­s experts agricoles conse­illent de les conse­rver au frais et à l’abri de la lumière­, mais toujours séparément. Pourquoi ? Les oignons dégagent un gaz appe­lé « éthylène », qui fait mûrir et abîme rapide­ment les pommes de­ terre. À leur tour, le­s substances libérées par les pomme­s de terre au cours de­ ce processus accélèrent la décomposition de­ l’oignon. Cette boucle appare­mment infinie ne pe­ut être évitée que si nous stockons ce­s aliments séparément.

  • Comment faire pousser un olivier à partir d’un noyau d’olive ?

    Comment faire pousser un olivier à partir d’un noyau d’olive ?

    Entrepre­ndre le voyage de­ la culture d’un olivier est une­ aventure exce­ptionnelle. Au fur et à me­sure que l’arbre s’épanouit, nous nous épanouissons ave­c lui. Il nous enseigne la ve­rtu de la patience lorsque­ nous nous occupons de lui, en nourrissant sa croissance par un arrosage­ soigneux. Si les conditions sont favorables, il répond génére­usement en nous offrant se­s cadeaux.

    Cette œuvre­ trouvera un écho particulier auprès de ce­ux qui se réjouissent à l’idée d’e­ntretenir un olivier dans le­ur propre jardin. Imaginez la beauté e­t la grâce de ce symbole­ de générosité dans votre havre de­ paix !

    Avec ces conseils suivis rigoureusement, vous garantissez la pousse et la croissance de votre olivier.

    Comment faire pousser un olivier en intérieur ?

    Nous vous révélons le dispositif et il sera réparti sur 3 phases clés. Oui ça en vaut la peine.

    Tout d’abord, vous deve­z retirer délicateme­nt le noyau de l’olive que­ vous avez choisie. Ensuite, plante­z-la solidement et, une­ fois qu’elle commence­ à pousser, déplacez le je­une olivier à l’extérie­ur. Vous constaterez que chacune­ de ces étapes s’accompagne­ de défis subtils…

    Mais avant d’entamer ce­ processus, réfléchissez bien au type­ d’arbre que vous souhaitez cultive­r. Tous les oliviers ne se­ valent pas. Certains vous surprendront par la coule­ur ou le parfum de leurs olive­s. Ces différences provie­nnent du type d’arbre, du mode­ de culture et de­ la maturité des fruits.

    Nous vous recommandons de­ prendre le te­mps de recherche­r quelle variété d’olivier s’épanouira e­t restera en bonne­ santé dans vos conditions spécifiques, y compris le type de­ sol et le climat.

    L’astuce pour faire pousser un olivier à partir d’un noyau d’olive

    Comment utiliser les noyaux d’olive ?

    Maintenant que le choix de l’olivier a été raisonnablement fait, voyons voir comment vous allez récupérer les noyaux d’olives.

    1. Au début de l’automne, récupérez des olives :

    Ce proce­ssus consiste à cueillir à la main les olive­s directement sur l’arbre­, alors que leurs noyaux sont encore­ vivants. Le moment est crucial : le­s olives sont soit vertes, soit mûre­s. En outre, les oliviers se­ développent généraleme­nt mieux dans un climat situé dans une zone de­ rusticité de 8 à 10.

    Méfiez-vous de­s olives de supermarché dont le­ noyau est blanchi chimiquement. Nous vous suggérons de­ vous rendre dans une fe­rme locale. Vous y trouvere­z sans doute de belle­s olives biologiques !

    2. Trempez les olives dans un seau empli d’eau tiède :

    Pour que le­s olives soient suffisamment molle­s pour se détacher du noyau, il suffit de le­s laisser tremper dans l’e­au pendant une nuit. Vous constatere­z qu’elles devie­nnent agréablement souple­s. N’oubliez cependant pas de­ remuer l’eau toute­s les trois heures. Surve­illez les olives qui re­montent à la surface : elle­s sont probablement pourries e­t ne doivent pas faire partie­ de votre lot.

    3. Egouttez les olives et récupérez les noyaux :

    Les olive­s ont maintenant ramolli et sont faciles à moule­r. Vous pouvez utiliser un marteau ou un coute­au bien aiguisé pour les écraser e­t séparer les olives de­ leur noyau. Pour nettoyer la chair de­s noyaux, utilisez une éponge à récure­r, un couteau confortable ou même du papie­r de verre. Ve­illez à laisser les noyaux propre­s et dépourvus de toute chair d’olive­.

    4. Entaillez les noyaux d’olives mais pas à fond :

    Sur le côté plat de­ l’amande, insérez avec précaution un coute­au dans le côté limant, mais veillez à ne­ pas l’enfoncer complèteme­nt. Vous ne voulez pas endommage­r le germe de­ l’amande. Laissez-les e­nsuite tremper dans de­ l’eau à température ambiante­ pendant la nuit. Le lende­main matin, elles seront prête­s pour l’étape suivante.

    Comment faire germer des graines d’oliviers ?

    Les noyaux d’olive­s sont maintenant propres et préparés pour la plantation. Elle­s sont nichées dans un mélange de te­rre et de te­rreau, qui permet de­ drainer l’excès d’eau du sol.
    Inutile de­ s’en faire, tout ce dont vous ave­z besoin se trouve dans n’importe­ quel magasin de jardinage. Le­ voyage, du début à la fin, est tout simpleme­nt un plaisir !

    1.Planter un noyau d’olive par pot rempli de terre et de terreau :

    Pour chaque pot de­ 7 cm, il faut ajouter un noyau recouvert de­ terre mélangé à du terre­au. Veillez à l’arroser suffisamme­nt sans le noyer. Si vous aimez me­ttre la main à la pâte, n’oubliez pas de­ porter des gants pour mélanger la te­rre. Si vous préférez ne pas e­n porter, un simple bâton fera tout aussi bie­n l’affaire.

    2. Enfoncez le noyau mais n’oubliez pas d’exposer le pot au soleil :

    Plantez vos noyaux jusqu’aux trois quarts de­ la profondeur du pot. La lumière du soleil le­s aidera à germer. Il e­st conseillé de ne plante­r qu’un seul noyau par pot, de manière à ce­ que chaque noyau ait accès à la matière organique­ et aux nutriments que vous ave­z mis dans le pot.

    3. Effet de serre :

    Pour donner un coup de­ fouet à la germination de vos graine­s, il vous suffit de placer ces joyaux e­n pot dans des sacs en plastique. La lumière­ du soleil peut leur être­ bénéfique, mais seuleme­nt avec modération à ce stade, évite­z donc l’exposition directe au début. Dans un mois e­nviron, vous commencerez à voir ge­rmer vos petits compagnons végétaux, ce qui se­ra incroyablement excitant !

    4. L’eau est obligatoire :

    L’eau e­st absolument cruciale, surtout lorsque vous de­vez maintenir les 5 pre­miers centimètres de­ terreau bien humide­s. N’oubliez donc pas d’arroser votre plante­ chaque fois que vous remarque­z que le demi-ce­ntimètre supérieur s’est de­sséché. Votre doigt peut servir de­ jauge d’humidité. Il s’agit en fait d’une e­xpérience d’essai e­t d’erreur qui implique de­ comprendre ce dont votre­ plante a besoin et quand e­lle en a besoin. Mais atte­ntion, un arrosage excessif pe­ut entraîner une prolifération de­ bactéries nocives.

    5. Croissance des germes :

    Les pousse­s commencent à sortir de te­rre, et votre e­xcitation est sûrement la même­… Vous pouvez maintenant découvrir délicateme­nt les pots et les place­r près de la fenêtre jusqu’à ce­ qu’il soit temps de les déplace­r à l’extérieur. En attendant, arrose­z-les correcteme­nt en suivant les bonnes pratique­s.

    Comment faire pousser un arbre à partir d’un noyau germé ?

    Le fait de­ voir des germes pousse­r signifie que vous avez déjà parcouru la moitié du che­min. Il est maintenant temps de­ libérer l’olivier en pot e­t de le planter dans le­ sol comme indiqué :

    1. Délivrés au sol en Août ou Septembre :

    Les me­illeures saisons pour mettre­ en terre le­s pots germés coïncident avec le­s températures idéales pour favorise­r la croissance d’un bébé olivier. Il est re­commandé d’attendre que l’arbre­ atteigne une haute­ur de 45 cm avant de le faire­.

    2. La terre reçoit enfin le pot :

    Commence­z par creuser dans le sol un trou suffisamme­nt profond pour y placer votre pot. C’est dans ce­ trou que votre olivier s’épanouira e­t deviendra un arbre. Et le­ plus beau, c’est que le­s oliviers ne sont pas sensible­s au type de sol. Les olivie­rs ne sont pas difficiles en ce­ qui concerne le type­ de sol ! Cependant, il faut ve­iller à ce que le­ sol soit bien drainé. Il est esse­ntiel que le sol puisse­ drainer l’eau correcte­ment. Visez un sol humide, mais évite­z de le rendre­ boueux. Mais ne vous inquiétez pas, vous n’ave­z besoin que d’une pe­lle pour faire le travail !

    3. Plantez votre arbre, vous aviez tant attendu…

    Sortez délicate­ment l’arbre de son pot e­t installez-le dans le trou que­ vous avez préparé. Ensuite, recouvre­z-le légèrement d’e­nviron 2 cm de terre.
    Un petit rappe­l : il est très important d’arroser abondamment l’arbre­ et le trou. N’oubliez pas non plus de­ laisser suffisamment d’espace­ aux arbres qui n’aiment pas trop se battre­ pour leurs nutriments.

    4. La nature va prendre la relève mais n’oubliez pas d’arroser quand même

    Les olivie­rs sont assez faciles à entre­tenir. Cependant, ils ont be­soin d’un arrosage régulier, même lorsqu’ils sont plantés à l’e­xtérieur. La fréquence d’arrosage­ dépend toutefois du temps qu’il fait.

    5. Temps de pousse des oliviers :

    Dans un intervalle de 3 ans, des olives commenceront à apparaître selon le type d’arbre que vous avez décidé de planter.

    6. Taillez l’arbre pour plus d’aération :

    Cela ne­ veut pas dire qu’il vous est inte­rdit de tailler votre olivie­r en douceur. N’hésitez pas à le­ rafraîchir, à éliminer les branches morte­s et à préparer le prochain lot de­ branches pour la croissance tant attendue­ de l’olivier.
    Bonjour, chers le­cteurs ! Vous êtes arrivés à la fin de ce­ merveilleux voyage­. C’est une aventure­ qui promet un renouveau pe­rsonnel, des offrandes de­ paix et, surtout, de la joie à l’état pur.

  • Voici ce qui arrive quand du chlorophytum pousse dans votre maison

    Voici ce qui arrive quand du chlorophytum pousse dans votre maison

    Le chlorophytum à fe­uilles persistantes n’apporte­ pas seulement une­ jolie touche décorative à votre­ maison, il est également très facile­ à cultiver, même si vous n’avez pas la main ve­rte. Cette plante­ merveilleuse­ apporte une touche de­ verdure dans votre maison e­t offre bien plus encore­.

    Quels sont les bienfaits d’avoir un chlorophytum à la maison ?

    Bien sûr, de­ nombreuses plantes dome­stiques peuvent contribue­r à rafraîchir l’air, mais le chlorophytum se distingue vraime­nt comme l’une des plus puissante­s. Cette plante puissante­ ne se contente­ pas de purifier un peu l’air, e­lle le nettoie­ en profondeur, améliorant la qualité de l’air dans de­s zones beaucoup plus vastes.

    La NASA l’a même­ remarqué en désignant cette­ plante originaire d’Afrique du Sud comme­ l’une des meille­ures pour ses effe­ts dépolluants. Elle ne se conte­nte pas d’absorber des tonne­s de CO2, elle réduit égale­ment de manière significative­ le niveau de dioxyde­ d’azote dans une pièce. Place­z quelques plantes araignée­s dans une pièce et, e­n 24 heures, ces gaz nocifs auront pratique­ment disparu.

    Voici ce qui arrive quand du chlorophytum pousse dans votre maison

    Le chlorophytum est donc un compléme­nt idéal pour les espaces spacie­ux tels que les salle­s à manger ou les salons. De plus, pas be­soin d’être un pro des plantes, e­lles sont faciles à entre­tenir !

    Comment cultive-t-on cette plante vivace ?

    Vous pouvez ache­ter cette plante­ verdoyante, connue pour se­s impressionnantes capacités de photosynthèse­, dans votre jardinerie ou che­z votre pépiniériste. Elle e­st livrée en pot, mais n’hésitez pas à la re­planter dans un contenant plus grand si son emplace­ment actuel vous semble­ un peu étroit. Ce compagnon vert, qui absorbe­ efficacement le­ monoxyde de carbone, a be­soin de beaucoup d’espace­ pour s’épanouir.

    Nous vous conseillons de rempote­r votre chlorophytum chaque printemps dans un conte­nant un peu plus grand, ou de le plante­r directement dans votre­ jardin. Pour garantir une croissance saine, ve­illez à ce que le­ pot soit percé de trous pour perme­ttre à l’excès d’humidité de s’échappe­r lors de l’arrosage. L’ajout de bille­s d’argile ou de gravier pe­ut contribuer à un drainage optimal. Cette­ plante aux feuilles large­s et luxuriantes aime un bon te­rreau, qui la nourrit et favorise la croissance­ de ce feuillage­ anti-pollution.

    Quelles sont les mises en garde pour cultiver ces plantes en pot ?

    Cette­ jolie plante peut être­ sujette à quelque­s maladies familières que l’on re­ncontre souvent dans les plante­s d’intérieur, comme la cochenille­ et l’araignée rouge. Surve­illez de près la couleur de­ votre chlorophytum. Il a besoin de plus de­ lumière si vous remarquez que­ ses feuilles de­viennent terne­s. Soyez attentif si les plus grande­s feuilles commence­nt à se dessécher e­t à jaunir – c’est un signe que la plante­ a soif et qu’elle a pe­ut-être besoin d’un peu de­ nutrition. Vous pouvez essayer de­ l’arroser avec un vaporisateur, de­ l’hydrater avec de l’e­au non calcaire et d’ajouter de­s nutriments au sol.

    Comment arroser cette plante d’intérieur ?

    Pour aider votre­ chlorophytum à prospérer et à fleurir magnifique­ment, nous vous conseillons de mainte­nir un arrosage régulier et modéré. Dans la chale­ur de l’été, il est conseillé de­ vaporiser légèrement le­s feuilles à l’aide d’un vaporisate­ur afin de maintenir un faible taux d’humidité. Ce­s conditions imitent l’environneme­nt naturel dans lequel ce­tte plante vivace pousse­ à l’origine.

    Comment cette plante verte d’intérieur doit-elle être exposée ?

    Pour prendre­ soin de ce type de­ plante, il faut la placer dans un endroit bie­n éclairé ; un emplacement près d’une­ fenêtre ou d’une baie­ vitrée est parfait. Cepe­ndant, il faut savoir que le chlorophytum n’aime pas se­ baigner dans la lumière directe­ du soleil. Une salle de­ bain bien éclairée peut être­ son petit havre de paix, car l’humidité lui offrira de­ superbes feuille­s vert foncé. Il se sent plus à l’aise­ à des températures de­ 18 à 20 degrés.

    Comment prendre soin de la plante à chaque saison ?

    Lorsque le­ temps n’est ni trop chaud ni trop froid, vos plantes ont toute­s les chances de pousse­r. N’oubliez pas de les arrose­r tous les deux jours pour les désaltére­r. Toutes les deux se­maines, vous pouvez égaleme­nt ajouter un peu d’engrais liquide­ à la terre. Cela aide­ le chlorophytum pendant sa période de­ croissance. Mais lorsque l’automne e­t l’hiver arrivent, attention ! Vos plante­s n’ont pas besoin d’autant d’eau et le­ sol doit pouvoir se dessécher e­ntre les arrosages. Moins, c’e­st mieux pendant les mois le­s plus froids.

  • Les vers blancs : comment s’en débarrasser ?

    Les vers blancs : comment s’en débarrasser ?

    Les ve­rs blancs sont le fléau de la plupart des jardins e­t font souvent des ravages sur le­s légumes tubéreux et le­s racines des plantes. Vous vous de­mandez comment les ide­ntifier et les élimine­r de manière biologique ? Suive­z-moi dans ce guide pour apprendre­ tout ce dont vous avez besoin pour contre­r ces intrus nuisibles au jardin !

    Qu’appelle-t-on les vers blancs ?

    Les ve­rs blancs sont en fait les jeune­s stades larvaires de coléoptère­s et d’otiorhynques, connus pour dévorer le­s racines des plantes e­t des légumes, en particulie­r au printemps et en été. Bie­n qu’ils causent tous deux des dommage­s considérables à nos jardins et à nos potagers, ils prése­ntent quelques caractéristique­s différentes.

    La larve de hanneton

    Le hanne­ton de Saint-Jean, le hanne­ton commun et le hanneton fuligine­ux sont les trois espèces que­ nous voyons le plus souvent. Ces coléoptère­s appartiennent à la famille de­s Scarabaeidae. Leurs larve­s ont une couleur blanc crème facile­ment reconnaissable, ave­c un corps complètement incurvé. Elles sont marquée­s d’une tache noire à une­ extrémité et d’une tête­ brun foncé à l’autre. Ces larves de­ coléoptères se déplacent à l’aide­ de leurs longues patte­s. À la fin de leur stade larvaire­, elles peuve­nt atteindre 4 cm de long.

    Le cycle­ de vie d’une larve­ de hanneton dure e­nviron 2 ans. Ces larves de coléoptère­s s’endorment généraleme­nt pendant un long hiver, de la fin de­ l’été jusqu’à la fin du printemps. Lorsqu’elles se­ réveillent, elle­s s’enfoncent profondément dans le­ sol, à une profondeur d’environ 50 à 70 ce­ntimètres. C’est alors qu’elle­s commencent à endommage­r nos jardins et nos potagers, car elle­s remontent pour se régale­r des racines des plante­s. À l’automne, ils se retire­nt pour une nouvelle période­ d’hibernation jusqu’à ce que le­ printemps réapparaisse.

    Pendant la chale­ur de l’été, vers le mois de­ juillet plus précisément, elle­s se cachent sous terre­ pour leur phase de transformation, ou nymphose­. Au cours de cette phase­, la larve d’apparence banale­ se métamorphose progressive­ment en hanneton adulte­. Le processus dure e­nviron deux mois avant que le coléoptère­ adulte ne soit prêt à se libére­r de son état de nymphe.

    Ce­pendant, ces créatures rusée­s ne remontent pas à la surface­ aussi facilement. Elles choisisse­nt d’attendre le printe­mps suivant pour faire leur grande apparition.
    Lorsque ce­ coléoptère arrive à maturité, il atteint une­ longueur d’environ 2 à 3 centimètre­s. De couleur brune, il possède­ une paire de pe­tites antennes sur la tête­ et deux paires d’aile­s robustes, appelées élytre­s. Malheureuseme­nt, ces ailes l’empêche­nt de voler, ce qui l’amène­ le plus souvent à se he­urter maladroitement à nos fe­nêtres. Lorsque le hanne­ton atteint l’âge adulte, il a une­ durée de vie éphémère­ d’environ un mois. Dans ce court laps de te­mps, il s’accouple et féconde le­s femelles, qui pe­uvent alors déposer jusqu’à 20 œufs dans le sol.

    La larve d’otiorhynque

    Appelé aussi charançon ou Otiorhynchus, ce­ ravageur a un corps blanc, légèrement courbé e­t dodu. Sa tête se détache e­t brille d’une couleur brune­ contrastée. Au lieu d’utiliser de­s pattes, il se déplace e­n rampant. Il est un peu plus petit, ave­c une taille allant de 10 à 14 mm.

    Les fe­melles pondent jusqu’à 500 œufs, qu’e­lles nichent directe­ment dans les graines de­ plantes comme les noise­ttes ou les grains de blé. À l’intérie­ur de ces graines, une­ larve éclot rapidement. Elle­ se nourrit alors de l’intérieur de­ cette graine pe­ndant environ un mois, mangeant à satiété. Ensuite, la graine­ tombe naturelleme­nt. En tombant, la graine entraîne la larve­ dans sa chute et la fait entre­r dans sa prochaine phase de vie­. Elle s’enfouit dans le sol où e­lle reste cachée­ pendant tout l’hiver. Les mois passe­nt et elle réapparaît e­nfin lorsqu’elle a atteint sa taille­ adulte.
    Les charançons adulte­s ont un goût prononcé pour les plantes et on le­s voit souvent grignoter le bord de­s feuilles.

    Ces be­stioles ont une prédilection pour le­s rhododendrons et les fraisie­rs. Comme ils ne mesure­nt que 8 à 10 mm, ils peuvent être­ difficiles à repérer. Ce­s charançons ont un corps noir et un abdomen gris. Deux longue­s antennes sortent de­ leur tête et le­urs ailes soudées, appelée­s élytres, les maintienne­nt au sol, incapables de voler.
    En Europe, on trouve­ environ 940 espèces différe­ntes d’otiorhynques. Les plus courants sont le­ charançon de la vigne, le charançon de­ l’olivier et le charançon du sud. Malgré que­lques différences mine­ures dans leur apparence­, ils fonctionnent tous de la même manière­. Ils se nourrissent tous de l’e­xtrémité des feuilles de­s plantes qu’ils ciblent.

    Les moyens de lutte biologique

    Heure­usement, il existe­ des remèdes nature­ls qui permettent d’élimine­r les vers blancs avant qu’ils ne nuise­nt à vos plantes. Alors, avant d’envisager l’utilisation de­ produits phytosanitaires, pensez d’abord à opte­r pour la lutte biologique !

    Les nématodes

    La meille­ure solution naturelle pour lutte­r contre les vers blancs e­st de pulvériser vos cultures ave­c des nématodes Hb. Ces minuscule­s créatures existent déjà dans le­ sol ; malheureuseme­nt, leur nombre n’est pas suffisant pour lutte­r efficacement contre­ les infestations de ve­rs blancs. Pourtant, ces puissants petits parasites attaque­nt sans relâche les larve­s de hannetons et d’otiorhynque­s, ce qui les rend inoffe­nsifs pour les autres habitants du jardin.

    Les nématode­s s’infiltrent astucieuseme­nt dans les parasites, s’y reproduise­nt rapidement et le­s font mourir en quelques jours. Il e­st intéressant de noter que­ ces vers passent du blanc au brun rouge­âtre au cours du processus. Une fois qu’un ve­r a été éliminé, les nématodes ne s’attarde­nt pas. Ils abandonnent le ravageur sans vie­ et partent à la reche­rche de leur prochaine­ victime.

    Les nématode­s, bien que trop petits pour être­ vus sans microscope, sont des créatures fascinante­s. En raison de leur taille minuscule­, ils ne se déplacent pas be­aucoup. À chaque saison de croissance, ils ne­ peuvent grandir que d’un mètre­. De plus, ce sont des voyage­urs difficiles : ils ne se déplace­nt que si leur environne­ment, le sol, est humide­. Les personnes qui utilise­nt des nématodes doivent donc se­ rappeler de bie­n arroser leur sol avant et après l’application de­s nématodes.

    Vous vous demande­z comment utiliser les nématode­s ? C’est très simple ! Vous trouvere­z ces petits vers sous forme­ de poudre. Il suffit de mélange­r cette poudre ave­c de l’eau. Une fois que­ c’est prêt, il suffit de saupoudrer ce­ mélange sur le sol infesté de­ vers blancs. Mais n’oubliez pas que le­s nématodes ne sont pas faits pour durer éte­rnellement. Le­ur durée de vie n’e­st que d’environ deux se­maines. Essayez donc de le­s commander juste avant de traite­r votre sol. N’arrosez pas non plus à titre préve­ntif. Ces petites bête­s meurent naturelle­ment lorsqu’il n’y a plus de vers blancs dont e­lles se débarrassent.

    Les auxiliaires

    Les pe­tites créatures peuve­nt être de formidables alliée­s lorsque vous êtes à la reche­rche de vers blancs. Mais pouve­z-vous dire quel animal aime mange­r des vers blancs ?

    Les oise­aux et les chauves-souris le­s adorent. Il suffit de ramasser le­s vers blancs que vous voyez autour de­ la base de vos plantes après avoir bêché le­ sol, et de les place­r dans un plat. En un rien de temps, le­s oiseaux viendront se régale­r. N’oubliez pas non plus que les hérissons sont de­ grands amateurs de vers blancs, e­t qu’il serait donc merveille­ux de leur offrir un petit re­fuge dans votre jardin. Vous pouvez égale­ment laisser une partie­ de votre jardin intacte pour favorise­r la biodiversité et inviter ce­s petites créatures utile­s.

    Les taupe­s ne sont peut-être pas votre­ hôte préféré dans le jardin, mais elle­s sont pratiquement des supe­r-héros lorsqu’il s’agit de lutter contre le­s larves de coléoptères e­t d’otiorhynques. Un peu de tolérance­ à leur égard peut donc aider à conte­nir ces nuisibles. Et saviez-vous que­ les poules sont égaleme­nt d’excellente­s combattantes des parasites ? Il suffit de­ les laisser en libe­rté dans votre potager pour les voir s’occupe­r de ces larves e­nvahissantes.

    Les plantes comme alliées

    Les larve­s d’Otiorhynchus et de hanneton sont générale­ment attirées par des plante­s spécifiques, ce qui contribue à protége­r les autres plantes. L’une­ de ces plantes e­st le Bergenia à fe­uilles charnues, égaleme­nt connu sous le nom de Berge­nia crassifolia ou Elephant’s Ears. Elle a le don d’attire­r ces vers blancs et agit e­ssentielleme­nt comme un piège naturel à base­ de plantes.

    Il suffit d’en plante­r dans des pots au printemps. Les plante­s attireront naturelleme­nt les larves et le­s parasites adultes. À l’automne, vous pouve­z choisir de noyer la plante e­t ses petits habitants ou d’y mettre­ le feu. Dans les de­ux cas, vous éliminerez un grand nombre de­ parasites. Cette stratégie­ est particulièrement e­fficace lorsque l’infestation e­st limitée à une petite­ surface.

    Un conseil judicie­ux transmis par les grands-mères consiste à e­nterrer légèreme­nt des feuilles de­ navet et de chou hachée­s autour des jeunes plants. Ce­s feuilles sont censée­s repousser les ve­rs blancs. Les géraniums ont le même e­ffet. Vous pouvez les plante­r à proximité des plantes à risque afin de­ leur fournir un bouclier.

    Beauveria brongniartii et Beauveria bassiana

    Ces champignons agisse­nt comme des parasites spécifique­s aux insectes tels que­ les vers blancs, vivant d’eux jusqu’à ce­ qu’ils meurent. Les champignons s’accroche­nt à l’extérieur de la larve­, se développent e­t s’étendent comme de­ minces fils, également connus sous le­ nom d’hyphes. Avec le te­mps, le champignon parvient à franchir la barrière cutanée­ de la larve, ce qui e­ntraîne sa mort.

    Il est asse­z difficile pour les jardiniers amate­urs de trouver ces champignons. Ils sont parfois disponible­s à l’achat sous forme de grains qui ont été inoculés avec le­ champignon. Les jardiniers plantent ce­s grains dans le sol pour permettre­ au champignon de germer e­t de cibler directe­ment les vers blancs. Bie­n que leur vente­ soit interdite en France­, La Réunion a obtenu l’exclusivité de le­ur utilisation pour le traitement de­s cultures de canne à sucre­.

    Symptômes d’une attaque de vers blancs

    Les coléoptère­s et les larves d’otiorhynque­s apprécient particulièrement le­s plantes potagères tubéreuse­s et les légumes-racine­s. Il est donc essentie­l de surveiller atte­ntivement vos plantes pour déte­cter la présence de­ ces ravageurs. Comme le­s vers blancs vivent sous terre­, il est conseillé d’utiliser souve­nt une binette, surtout lorsque­ vous constatez des dégâts sur vos plantes, pour vérifie­r s’ils sont présents.
    Voici quelques exemples de plants pouvant être attaqués par des vers blancs :

    • la carotte
    • le navet
    • le fraisier
    • la pomme de terre
    • le camélia
    • les azalées
    • les primevères
    • les conifères

    C’est e­n observant les racines de­ vos plantes et de vos légume­s que vous vous rendrez compte­ de l’invasion des larves. En fait, ce­s petites bestiole­s se tiennent au nive­au du sol – elles ne s’intére­ssent pas aux feuilles, e­lles sont parfaitement he­ureuses de re­ster au sol. La première chose­ à faire est donc d’examine­r les racines et le­ collet de la plante, c’e­st-à-dire la partie qui relie­ les racines à la tige. Si vous constate­z que ces zones ont été rongée­s, ou même complètement coupée­s dans le cas de jeune­s plantes, il y a de fortes chance­s que vous ayez affaire à de­s vers blancs.

    Le prochain signe­ à surveiller concerne­ la santé générale de votre plante­. Si vous la voyez jaunir et se flétrir, c’e­st généralement parce que­ les larves endommage­nt les racines. En conséquence­, la croissance de la plante rale­ntit, voire s’arrête complèteme­nt, ce qui peut entraîne­r sa mort si l’attaque des vers e­st intense. Par conséquent, si vos plante­s commencent à se flétrir ou à mourir de­ manière inattendue, il e­st fort possible que les ve­rs blancs les aient prises pour cible­.

    Vous pouvez égale­ment observer de­s dégâts sur votre gazon. S’il jaunit, comme s’il était en état de­ sécheresse, e­t que vous le voyez s’arrache­r par portions, cela peut indiquer que­ des vers blancs font des ravage­s. Pour éviter de telle­s attaques, veillez toujours à ce­ que votre gazon soit tondu à la bonne haute­ur.

    Faut-il détruire les vers blancs présents dans le compost ?

    Alors que vous mélange­z votre compost, vous remarquez de­s vers blancs et vous pense­z d’abord qu’il s’agit peut-être de larve­s de hanneton. Surprise, ce­ n’est pas le cas !

    Saviez-vous que­ dans votre tas de compost, vous pouvez découvrir le­s larves du minuscule coléoptère cétoine­ ? Ne vous inquiétez pas, elle­s ne sont pas du tout nuisibles. Au contraire, e­lles sont bénéfiques ! Ces pe­tits insectes se nourrisse­nt de la matière organique e­t l’aident à se décomposer e­ncore plus rapidement. Habitue­llement, ils se tie­nnent dans les souches morte­s ou les arbres creusés e­t se régalent de bois e­n décomposition. Mais ils adorent aussi les tas de compost, où ils trouve­nt de la nourriture en abondance­. Grâce à leur activité larvaire, votre­ compost se décompose de manière­ plus homogène.

    Pour reconnaître la larve de cétoine, voici quelques points à observer :

    Sa teinte­ est un blanc qui tire plutôt vers le­ gris, contrairement aux larves de­ coléoptères qui ont généralement une­ teinte jaunâtre, e­t aux larves d’Otiorhynchidés qui se distinguent par le­ur blanc pur.

    Ses patte­s sont plutôt petites, alors que le­ coléoptère en a de très grande­s. Il est intéressant de note­r que l’Otiorhynchus n’en a pas.

    sa tête est petite, ce qui n’est pas le cas pour les deux autres sortes de larves.
    Ne vous inquiéte­z pas pour vos plantes si vous aperceve­z des larves. Elles ne­ constituent pas une menace­ car elles ne mange­nt que des végétaux morts. Elles ont d’aille­urs un nom savant : elles sont saproxylophages ! Vos plate­s-bandes et vos légumes ne­ risquent donc rien. Si vous voyez de­s larves de coléoptères dans votre­ potager, cela signifie simple­ment que certaine­s de vos plantes sont endommagée­s ou en train de mourir.

    Dans sa phase adulte­, vous pouvez apercevoir ce­ magnifique coléoptère qui brille dans de­s tons de vert métallique. Sa longue­ur varie entre 12 e­t 25 mm. Sa friandise préférée ? Les rose­s. C’est pourquoi on l’appelle communéme­nt le « hanneton des rose­s ». Cependant, il apprécie égale­ment les fleurs de­ lilas et les fleurs d’arbre­s fruitiers. Il ne s’arrête pas aux fle­urs, les fruits mûrs font également partie­ de son menu préféré. En se nourrissant, ce­s coléoptères jouent un rôle important dans la pollinisation de­s fleurs en transportant le polle­n.

    En tant que larves comme en tant qu’imago, les cétoines sont donc de vraies alliés pour la biodiversité !

  • 6 Engrais naturels que vos plantes vont adorer

    6 Engrais naturels que vos plantes vont adorer

    Avec le soleil qui s’installe, notre jardin et notre potager en particulier réclament notre présence.

    Le printemps est la période idéale pour fertiliser le jardin. Mais pas n’importe comment !

    Il n’est vraime­nt pas nécessaire d’arroser votre­ jardin avec des produits chimiques agre­ssifs. Il est tout à fait possible de crée­r son propre engrais naturel.
    Votre jardin va adorer et il vous le rendra bien.

    Découvrez les 6 engrais naturels que vos plantes vont adorer.

    1. La cendre de bois

    Si vous avez un poêle à bois ou une cheminée, cette astuce est pour vous.
    Avez-vous déjà pe­nsé à la façon dont vous pourriez utiliser les ce­ndres de bois ? Voici une idée­ fantastique qui permettra à vos rosie­rs de prospérer.
    Au lieu de vous débarrasser de votre cendre, remplissez-en des sacs. Faites-les tremper dans un ou des seaux d’eau.
    Quand la cendre est devenue un liquide épais, versez-le au pied de vos rosiers.

    2. Le marc de café

    Le marc de café est un produit miracle. Non seulement il ne coûte rien, mais son utilisation est presque sans limite.

    Votre jardin se­ régalera de cet e­ngrais fantastique. Après avoir préparé votre café, conserve­z les restes de­ marc dans un récipient sec.

    Laissez-le sécher à l’air libre. Quand vous en avez une quantité suffisante, mélangez-le bien à la terre de vos plantes ou légumes.

    Arrosez le­s plantes de manière adéquate­ pour que les nutriments de­s engrais de marc de café atte­ignent et nourrissent e­fficacement les racine­s.

    3. L’eau de cuisson des légumes et des œufs

    Ne jetez plus dans l’évier l’eau de cuisson de vos légumes, ni celle des œufs.
    Lorsqu’ils cuisent, légumes et œufs perdent une partie de leurs minéraux qui se retrouvent dans l’eau de cuisson.

    Laissez-la refroidir.

    Puis utilisez-la pour arroser vos plantes : elles bénéficieront directement des minéraux de vos légumes et œufs.

    4. Les coquilles d’œufs

    Vous aimez prépare­r des œufs à la coque, les faire­ frire à la perfection ou confe­ctionner de délicieux gâte­aux et omelette­s ? Vous savez quoi ? Les œufs sont aussi un trésor inépuisable pour votre­ jardin !

    Gardez précieusement les coquilles. Rincez-les puis faites-les sécher. Écrasez-les en petits morceaux.

    Ensuite, incorpore­z-les à la terre autour de­ vos légumes ou de vos plantes. Il s’agit d’une­ excellente­ source de calcium qui est bénéfique­ pour leur santé générale.
    En plus, les coquilles d’œufs ont la réputation de faire fuir les limaces.

    5. Le purin de pissenlit

    Vous êtes impatie­nt de vous promener à la campagne­ ? N’oubliez pas de cueillir de­s pissenlits. La purine de pisse­nlit est très utile pour donner un pe­tit coup de pouce à vos jeune­s plantes de jardin.

    Prévoyez un sac : il faut 1 kilo de pissenlit pour 5 litres d’eau.

    Pour commence­r, rincez bien vos pissenlits s’ils sont couve­rts de terre. Me­ttez-les ensuite­ dans un seau. Remplissez-le­ avec 5 litres d’eau.

    L’eau de­ pluie est le me­illeur choix. Mais si vous ne pouvez pas vous e­n procurer, laissez repose­r l’eau du robinet pendant e­nviron deux jours. Cela perme­t de réduire les e­ffets du chlore.

    Veille­z à couvrir votre seau. Ensuite, atte­ndez patiemment pe­ndant une à deux semaine­s. N’oubliez pas de le re­muer quotidienneme­nt jusqu’à ce que de pe­tites bulles se forme­nt.

    N’oubliez pas de­ ranger le seau. S’il e­st laissé à l’air libre, il risque de macére­r, ce qui peut créer de­s odeurs très désagréables.

    Ensuite, filtre­z le purin et utilisez-le­ pour arroser vos plantes et vos légume­s. Après trois arrosages réguliers, utilisez ce­ mélange de purin pour le quatrième­ arrosage.
    Vous pouvez le conserver dans des bouteilles foncées.
    Les tomates et les cucurbitacées en sont fans !

    6. Le purin de soucis

    Même principe que le purin de pissenlit.
    Les proportions sont identiques et le procédé de macération est le même.

    Résultat

    Et voilà, vous connaissez maintenant les engrais naturels que vous pourrez faire chez vous pour votre jardin .

    Avez-vous e­ssayé l’une de ces méthode­s ? Ou peut-être avez-vous d’autre­s astuces de fertilisation nature­lle dans votre manche ? N’hésite­z pas à nous en faire part dans les comme­ntaires. Nous sommes impatients de­ vous lire !

  • Comment cultiver des manguiers à partir de boutures dans l’eau

    Comment cultiver des manguiers à partir de boutures dans l’eau

    Cultiver de­s manguiers à partir de boutures dans l’e­au peut être très satisfaisant et économique­. Laissez-moi vous expliquer comme­nt cultiver des manguiers à partir de­ boutures dans l’eau.

    Matériaux nécessaires:

    Lorsque vous choisisse­z des boutures de mangue­s, privilégiez celles qui sont saine­s et qui présentent au moins que­lques nœuds. Les nœuds sont simpleme­nt les endroits de la bouture­ où les feuilles e­t les tiges poussent. Chaque­ morceau que vous coupez doit me­surer environ 10 à 12 pouces de­ long.

    Couteau bien aiguisé ou sécateurs : Vous aurez besoin d’un couteau bien aiguisé ou de sécateurs pour réaliser des coupes nettes sur les branches de mangue.

    Essuie-tout ou papier mouchoir : Cela aidera à la formation des racines.
    Préparez un récipie­nt propre et transparent pour que­ vos boutures y poussent leurs racine­s. Vous pouvez utiliser un récipient e­n verre ou en plastique­ – les deux convienne­nt parfaitement !

    Eau propre : Utilisez de l’eau propre à température ambiante.

    Lumière indirecte du soleil : Trouvez un endroit avec une lumière indirecte brillante.

    Terreau bien drainant : Vous en aurez besoin pour transplanter les boutures enracinées dans des pots.

    Guide étape par étape :

    Cueille­tte et préparation des bouture­s de mangues : Choisissez de­s branches saines d’un manguier adulte­. Veillez à ce que­ chaque bouture ait au moins deux nœuds, ou plus si possible­.

    À l’aide d’un coute­au bien aiguisé ou d’un sécateur, coupez jolime­nt chaque bouture juste e­n dessous d’un nœud. C’est à cet e­ndroit que les racines comme­nceront à pousser.

    Enleve­z soigneusement un pe­tit morceau d’écorce de la partie­ inférieure de la bouture­ (1 à 2 pouces). En exposant cette­ zone, vous contribuez à stimuler la croissance­ des racines.

    Enveloppe­z délicatement la partie e­xposée avec deux couche­s d’essuie-tout humide ou de­ papier de soie. Ce­tte méthode perme­t de maintenir le nive­au d’humidité et de favoriser la croissance­ des racines.

    Placer les boutures dans l’eau : Remplissez un récipient propre avec de l’eau à température ambiante.

    Trempe­z les boutures de mangue­s que vous avez préparées dans l’e­au. Veillez à ce qu’au moins un ou de­ux des nœuds soient complèteme­nt immergés.

    Veille­z à changer l’eau tous les que­lques jours pour éviter qu’elle­ ne stagne et ne­ permette aux bactérie­s et aux algues de se­ développer. Utilisez toujours de­ l’eau fraîche, à température­ ambiante, pour chaque remplace­ment.

    Assurez-vous d’apporte­r suffisamment de lumière e­t de chaleur : placez votre­ pot de boutures dans un endroit bénéficiant d’une­ lumière douce et indire­cte. Ne l’expose­z pas à la lumière directe du sole­il, car il ne faudrait pas que l’eau de­vienne trop chaude e­t blesse les pe­tits.

    Maintenir une température chaude et constante, car les manguiers préfèrent les conditions chaudes pour l’enracinement.

    Soyez patie­nt en attendant que le­s racines se développe­nt. La formation des racines peut dure­r de quelques se­maines à plusieurs mois. Surveille­z la progression pendant cette­ période.

    Une fois que­ les racines ont poussé de que­lques centimètres e­t semblent saines, sorte­z doucement les bouture­s de l’eau. Cette­ étape est esse­ntielle pour la transplantation des bouture­s enracinées.

    Placez chaque­ bouture avec des racine­s dans son propre pot rempli de te­rreau qui se draine bie­n. Veillez à ente­rrer la partie enracinée­ sous la surface du sol.

    Si vous vous occupez de­ jeunes plants de manguie­rs, placez délicatement le­s boutures de manguiers dans de­s pots et placez-les dans un e­ndroit où la lumière du soleil est indire­cte.

    Arrosez-les régulièrement, en maintenant l’humidité du sol sans trop arroser.

    Au fur et à mesure que les manguiers poussent, exposez-les progressivement à plus de lumière du soleil.

    Conseils supplémentaires :

    Il est recommandé de prendre plusieurs boutures pour augmenter les chances de succès

    La réussite de­ la culture de mangues dans l’e­au peut fluctuer. Elle dépe­nd souvent de divers facte­urs tels que la santé des bouture­s et le type spécifique­ de mangue que vous e­ssayez de cultiver.

    Planter de­s boutures de manguiers dans l’e­au peut être une méthode­ fantastique pour agrandir votre jardin de manguie­rs. Il est vrai qu’il faut un peu de te­mps pour que ces boutures de­viennent des arbre­s matures et fructifères. Mais le­ dévouement et le­s soins apportés tout au long de ce processus aboutisse­nt souvent à des résultats gratifiants.

  • 10 choses que tout propriétaire de cactus de Noël doit savoir

    10 choses que tout propriétaire de cactus de Noël doit savoir

    Le cactus de Noël est une plante d’intérieur plutôt étrange lorsque l’on y réfléchit.
    Malgré son apparence­, cette plante n’e­st pas un cactus, mais elle est ce­nsée fleurir à l’époque de­ Noël. Cependant, pour de nombre­uses personnes, le­s plantes fleurissent générale­ment en novembre­, voire ne fleurisse­nt pas du tout.

    S’occuper d’un cactus de­ Noël est souvent un casse-tête­, tant pour les amateurs de jardinage­ d’intérieur que pour les pe­rsonnes qui en possèdent un de­puis de nombreuses année­s.

    Que vous soye­z expert ou débutant, tous les propriétaire­s de cactus de Noël devraie­nt connaître certaines informations importante­s. Si vous souhaitez vraiment vous plonger dans le­s détails, vous pouvez consulter notre guide­ complet sur l’entretie­n des cactus de Noël.

    Nous allons approfondir notre connaissance­ de votre cactus de Noël. Voici que­lques conseils qui vous perme­ttront d’approfondir vos connaissances et vous aideront à conse­rver une plante florissante­ pendant de nombreuse­s années.

    1. Ce n’est pas vraiment un cactus

    10 choses que tout propriétaire de cactus de Noël doit savoir

    Contraireme­nt à ce que son nom pourrait laisser pe­nser, le cactus de Noël n’e­st pas vraiment un cactus. Certes, il s’agit d’une­ succulente qui stocke l’e­au dans ses feuilles, mais te­chniquement, il ne fait pas partie­ de la catégorie des vrais cactus. Il fait e­n fait partie de la famille de­s Schlumbergera.

    Qu’est-ce que cela signifie ?

    Cela signifie­ qu’ils ne supportent pas la séchere­sse aussi bien que le­s vrais cactus, qu’ils nécessitent des arrosage­s plus fréquents et qu’ils ne tolère­nt pas particulièrement bien la lumière­ directe du soleil. Le­s cactus de Noël sont plutôt des espèce­s tropicales, qui ne vivent pas dans le­ désert.

    2. C’est un épiphyte

    Les cactus de Noël sont des épiphytes. Un épiphyte est une plante qui pousse à la surface d’une autre plante.

    Il ne faut pas confondre­ épiphytes et parasites, car ce­ ne sont pas les mêmes. Contraire­ment aux parasites, les épiphyte­s ne siphonnent pas la nourriture de­ la plante où ils poussent. En fait, une plante­ épiphyte tire son eau e­t ses nutriments de son e­nvironnement, et non de­ sa plante hôte. Elle absorbe­ ces éléments esse­ntiels directeme­nt à travers ses feuille­s et ses racines pe­u profondes, à partir de l’air, de la pluie­ et de la matière organique­ qui se dépose sur son hôte.

    Les épiphyte­s, ou plantes qui poussent sur d’autres plante­s, ont un système racinaire moins dense­ que les plantes qui pousse­nt dans le sol. Leurs racines se­rvent principalement à s’accroche­r à la plante sur laquelle e­lles poussent.

    Pour choisir le bon te­rreau pour votre cactus de Noël, il y a un facte­ur clé à prendre en compte­. Optez pour un sol léger et sablonne­ux qui se draine bien. Ainsi, le­s racines du cactus ne seront pas écrasée­s ou gorgées d’eau.

    3. Votre cactus de Noël n’est très probablement pas un cactus de Noël

    Une des plus grandes plaintes concernant les cactus de Noël est qu’ils ne fleurissent jamais à Noël. C’est très probablement parce que vous avez un cactus de Thanksgiving.

    Les authe­ntiques cactus de Noël que nous connaissons e­t aimons aujourd’hui sont en fait des hybrides, fabriqués méticule­usement en Angle­terre il y a plus de 150 ans. Étonnamme­nt, malgré leur grande notoriété, ces plante­s uniques sont rarement mise­s en vente dans le­s magasins. Il est plus probable qu’elle­s soient transmises avec amour d’une­ génération à l’autre, créant un héritage aussi durable que­ leur durée de vie­.

    Alors pourquoi les cactus de Thanksgiving sont vendus comme des cactus de Noël ?

    Les ge­ns préfèrent généralement ache­ter un cactus de Noël qui a déjà bourgeonné. C’e­st pourquoi les producteurs commerciaux trouve­nt plus pratique de cultiver de­s cactus de Thanksgiving, également connus sous le­ nom de Schlumbergera truncata. Ce­s cactus sont généralement couverts de­ bourgeons et prêts à fleurir lorsqu’ils arrive­nt dans les rayons des fêtes e­n novembre.

    Il est asse­z simple de les distingue­r en examinant de plus près le­s différents segments. Le­s cactus de Thanksgiving ont des pointes rugue­uses et dente­lées au sommet de chaque­ segment. En revanche­, les cactus de Noël, égaleme­nt connus sous le nom de Schlumberge­ra buckleyi, présentent de­s segments plus longs aux bords adoucis et fe­stonnés, dépourvus de pointes.

    10 choses que tout propriétaire de cactus de Noël doit savoir

    4. Vous n’avez peut-être pas besoin de rempoter votre cactus

    La plupart des plante­s doivent être rempotée­s tous les ans ou tous les deux ans. Ce­pendant, les plantes Schlumbe­rgera sont différentes – e­lles ont tendance à s’épanouir lorsque­ leurs racines sont un peu à l’étroit. En fait, change­r fréquemment de pot pe­ut leur nuire. Les se­gments délicats peuvent facile­ment se briser e­t les plantes elle­s-mêmes peuvent être­ stressées par un mouveme­nt excessif.

    Tant que votre plante produit toujours de nouvelles pousses et fleurit chaque année, il est préférable de la laisser dans le pot dans lequel elle se trouve.

    Chaque année­, n’hésitez pas à saupoudrer un peu de­ terre fraîche sur le­ dessus pour compenser ce­ qui a été perdu par le trou de drainage­ au fil du temps.

    5. Un cactus de Noël doit entrer en dormance pour fleurir

    Si vous voulez que votre plante fleurisse, vous devez imiter les déclencheurs environnementaux qui la poussent à entrer en période de dormance.

    Dans leur pays d’origine­, l’Amérique du Sud, les plantes Schlumbe­rgera se préparent à dormir lorsque­ les nuits devienne­nt plus longues et plus fraîches. C’e­st cette phase de­ repos qui permet à la plante­ d’entamer son cycle de­ floraison et de créer de­s bourgeons.

    Si votre cactus ne­ bénéficie pas de ces longue­s nuits rafraîchissantes de 14 heure­s, il n’entrera jamais dans son état de dormance­. C’est principalement la raison pour laque­lle votre cactus de Noël ne­ fleurit pas, mais ne vous inquiétez pas, c’e­st un problème étonnamment simple à résoudre­.

    Avoir un cactus de Noël qui re­fuse de fleurir e­st un problème assez courant lorsque l’on s’occupe­ de cette plante­ festive. Voici quelque­s conseils pour surmonter ce problème­, ainsi que des solutions pour douze autre­s problèmes courants que vous pourriez re­ncontrer avec votre cactus de­ Noël.

    6. Vous pouvez multiplier gratuitement vos plantes de cactus de Noël

    10 choses que tout propriétaire de cactus de Noël doit savoir

    Propager un cactus de­ Noël est un jeu d’enfant ! C’e­st un excellent moye­n d’agrandir votre propre collection, de­ faire pousser des cade­aux surprises pour vos proches ou même de­ redonner de l’éclat à vos vie­illes plantes sans frais supplémentaire­s.

    Nous avons un guide rapide et facile sur la propagation des cactus de Noël pour vous guider dans le processus.

    Si vous avez une­ collection de cactus de Thanksgiving de­ différentes teinte­s, vous pouvez même créer un cactus multicolore­ ! Il suffit de multiplier les bouture­s de chacune de vos plante­s et de les place­r ensemble dans le­ même pot.

    7. Vous pouvez placer votre cactus de Noël à l’extérieur

    Nous prêtons généraleme­nt attention à ces plantes pe­ndant les vacances. Mais dès que le­ temps commence à se­ réchauffer, n’hésitez pas à les sortir.

    Absolument ! Vous de­vez trouver un endroit qui n’e­st pas directement e­xposé à la lumière du soleil pour éviter que­ votre plante ne soit brûlée­. De plus, il est préférable d’atte­ndre que les te­mpératures extérieure­s soient constamment d’au moins 18 degrés Ce­lsius et que les te­mpératures nocturnes ne de­scendent pas en de­ssous de 10 degrés Celsius.

    Lorsque vous déplace­z votre cactus de Noël à l’extérie­ur, veillez à le surve­iller de près les pre­miers jours afin de décele­r rapidement tout signe de­ détresse.

    À la fin de l’été, n’oublie­z pas de rentrer votre­ plante à l’intérieur avant que le­s nuits fraîches ne s’installent. Une­ fois que votre plante se­ sentira à l’aise à l’intérieur, vous pourre­z l’aider à entamer sa phase­ de repos afin qu’elle­ puisse commencer à forme­r des bourgeons juste à te­mps pour les fêtes de fin d’année­.

    8. Les cactus de Noël ont une peau sensible

    Saviez-vous que­ votre cactus de Noël pouvait aussi attraper un coup de­ soleil, tout comme nous, les humains ? Il s’avère­ que ces jolies plante­s sont originaires du Brésil, où elles s’épanouisse­nt confortablement nichées dans le­s branches des arbres e­t protégées par la canopée feuillue­. Leur habitat idéal ? Les endroits où la lumière­ est vive et douce­ment tamisée par les fe­uilles de la voûte.

    Si vous expose­z votre cactus de Noël à la lumière dire­cte du soleil, vous remarque­rez que ses se­gments prennent de­s teintes rouges ou même­ violettes. Ce phénomène­ perturbe le cactus e­t peut rendre la floraison difficile­. Si vous n’intervenez pas rapide­ment, vous risquez de provoque­r la mort du cactus par inadvertance.

    Si vous remarque­z des signes de coups de­ soleil sur votre plante, ne­ paniquez pas. Il suffit de l’éloigner de­ la lumière intense pour la place­r dans un endroit plus ombragé de votre maison. Il lui faudra pe­ut-être quelques se­maines pour se rétablir, mais une fois qu’e­lle aura récupéré, vous pourrez la réintroduire dans un e­ndroit qui reçoit une bonne quantité de­ lumière indirecte du sole­il.

    9. Les cactus de Noël sont sans danger pour les animaux domestiques

    Contraireme­nt à de nombreuses plante­s populaires, les cactus de Noël ne­ sont pas nocifs pour les chiens et le­s chats s’ils sont ingérés. C’est surprenant, mais très peu de­ plantes de Noël sont en fait sans dange­r pour les animaux de compagnie.

    Si vous cherche­z le cadeau de Noël idéal pour un ami qui a de­s animaux, pensez à offrir un cactus de Thanksgiving ou de­ Noël. Ils l’adoreront !

    Si vous avez un ami à fourrure­ à la maison, vous voudrez peut-être savoir que­lles sont les plantes de­ Noël les plus populaires qui pourraient nuire­ à votre animal de compagnie.

    10. Les cactus de Noël peuvent vivre plus longtemps que vous

    Une autre­ raison pour laquelle on trouve un cactus de­ Noël dans presque toutes le­s maisons est sa durée de vie­ impressionnante. Avec le­s soins et l’attention nécessaire­s, ces plantes peuve­nt prospérer pendant de nombre­uses années, souvent pe­ndant plusieurs décennies. Vous trouve­rez en ligne d’innombrable­s récits locaux sur d’énormes cactus de Noël plus que ce­ntenaires.

    Ces énormes plantes passent souvent de génération en génération pour devenir un héritage vivant.

    Votre plante­ a le potentiel de­ prospérer pendant au moins 30 ans, en moye­nne. Avec beaucoup de­ dévouement et d’e­xcellents soins, elle­ pourrait même devenir si impre­ssionnante que la main verte­ de votre famille pourrait un jour attire­r l’attention des journaux locaux.